Joséphine DuBarry, une femme de l'ombre [Descendante]

Physique & Caractère

Caractère
C’est une fleur, délicate, sensible et terriblement piquante. Elle est belle, elle le sait et en
joue. C’est une vraie garce. Elle aime les hommes, les femmes. Elle s’en sert. Elle en use. Elle les charme, les manipules avec ou sans ses capacités. Elle aime manipuler les gens mais au fond, ne vous trompez pas, car elle possède un vrai coeur d'artichaut. En effet, je ne rigolais pas en disant qu’elle ‘était délicate. Même si elle n’est pas une sainte, elle n’aime pas faire souffrir les innocents, mais existent ils vraiment les innocents ? Elle a appris à vivre dans un monde d’homme et de brutes, a se rendre utile et désirable, pour ne pas perdre la tête ou même sa vie. Elle aime sentir le regards des autres sur elle, de jalousie ou autre, elle n’en a cure. Elle n’est pas méchante à la lumière du jour, non, mais la nuit elle est autre chose.

Pour résumer en quelques mots.

Indécente ๑ Fougueuse ๑ Adroite de ses mains ๑ Franc parler ๑ Fatale et Enjôleuse ๑ Déterminée à tendance Têtue ๑ Charismatique ๑ Séductrice ๑ Compétitrice ๑ Peur de l'abandon ou d'être repoussée ๑ Facile à convaincre et Convaincante ๑ Secrète ๑


Physiquement


Rousse flamboyant, elle n'as pas de particularité physique essentielle. Ses yeux sont noisettes et elle est souvent maquillée et porte de nombreux bijoux. Précieuse, son aspect physique et vestimentaire est toujours soigné, voir même trop dans certaines situations. Elle aime les gens élégant, et fait en sorte de l’être tout autant. Si la mode a évoluée avec le temps, les goûts de Joséphine l’ont suivie de prêt. Parfois, si vous êtes assez proche d’elle, vous pourrez la voir habillée de manière plus détendue, mais cela est rare.

Pouvoirs

Ombre : Elle manipule l’ombre comme elle le désire, en des formes plus ou moins utiles, et si elle n’est pas encore capable d’en créer cela ne saurait tarder avec l'entraînement. Elle arrive même à s’y dissimuler lorsque l’ombre est assez dense.

Manipulation : Joséphine est capable de manipuler les sentiments des personnes qui l’entourent, par un regard, et de manière plus puissante, par le toucher. Si elle ne peut les forcer à faire ce qu’elle désire, elle peut leur inspirer la peur, la confiance et même l’amour.

Histoire

1766, une nuit glaciale, quelques bougies et au milieu des râles de femmes donnant de la joie, l’une d’elle donna la vie.

Une erreur, un accident. Née dans la soie d’une des maisons closes d’un Proxénète français, le comte Du Barry. Destinée à être déposée au couvent, il ne fallut qu’un sourire. Un seule sourire de cette petite chose pour le convaincre de ne pas l’abandonnée.

Elle grandit alors dans la plus grande discrétion, élevée par les diverses prostituées. Une enfant choyée par des femmes n’ayant pas le droit d'enfanter sous peine d’être envoyée au couvent. Un luxe, des fêtes, de l’alcool, des rires, des pleurs. Voila un environnement étrange, mais pas si malheureux.  En grandissant le compte tombait de plus en plus sous le charme de la jeune fille, il la considérait comme sa pupille, sa fille adoptive, secrète, seulement à lui.

Elle se rendait utile, telle une servante, pour les autres elle était “une orpheline” pour lui et les femmes, elle était “miss josy”. De son enfance, elle se rappelleras de ses odeurs d’encens, ses tentures si colorés et des histoires qui lui étaient racontés par les autres femmes.

Elle grandit, comme toute jeune femme, et quelque chose changea. Les hommes qui entouraient les prostitués de la maison la regardaient différemment, et un soir où l’un d’eux s’approcha d’elle, le compte pris la décision de l’enfermer. Il la voulait pour lui seul.

Combien de temps passa-t-elle dans cette cellule de la demeure du compte ? elle ne sait pas vraiment. Ce n’était qu’humidité, froid, et ombre. Elle s’y cachait dans l’ombre, lorsqu’un serviteur passais pour donner à manger. Lorsque le compte venait, elle restait muette, dans l’ombre.

“ tu mérite mieux”. Etait-ce une voix ? Quelqu’un dans la cellule ? Elle regarda partout mais ne vis rien. “Tu ne devrais pas être la, enchainée”. La voilà folle, elle en est persuadée. “Non tu n’es pas folle, tends la main”. Fût ce de son propre chef, elle tendit la main devant elle, et l’ombre qui l’entourait… disparue totalement, ne laissant à la place qu’une silhouette belle et bien réelle. “ Si tu veux sortir, tu le peux” “Impossible”. L’homme face à elle l’intimidait et l’intriguait, oui, mais il eu raison. Il disparu dans un rire, une flamme, de l’ombre, elle ne sais pas, car lorsqu’elle ouvrit les yeux, ce n’était qu’un rêve.

Ou pas.

Car elle sortit, sans comprendre comment sa volonté pu corrompre à ce point le serviteur du compte. Et à peine eu-t-elle sorti un pied du château qu’elle fut attrapée par les bras et assommée avec violence. Un piège ?

Pire peut être.

Lorsqu’elle ouvrit les yeux, ce n’étais plus sa cellule qui l’entourait, mais l’ombre, de la pierre froide, et… des personnes. La voilà arrivée en enfer, sans savoir ce que c’est. L'émissaire qui l’avait amené dans les mondes divins était le même que celui de son rêve. Il lui demanda pleine de choses, auquel elle n’avais que peu de réponse, on lui demanda son nom, mais elle n’en avait pas vraiment. Et alors on lui montra.

Ce qu’elle était vraiment. Où elle était maintenant. Et pourquoi.

Tout devint clair, limpide et si evident. L’adolescente commence une vie à Olympus bien différente de celle qui l’aurait attendue en France, elle échappa à une révolution, à des guerres. Suivant de l’enfer et des mondes divins, ce que devenait le monde mortel. Développant ses dons, son caractère, et sa personnalité. Cet émissaire lui avais sauvé la vie, il s'était présenté comme un proche parent et si cela était vrai, son père à elle, n’était autre que Hadès.

Les années passèrent et elle fit de Sanctuary son nouveau monde, sa nouvelle vie. Sans réellement le chercher elle se rapprocha des gens qui ressemblaient le plus à son passé. Des gens douteux, des femmes à peu de vertues. Mais c’était peut être ce qu’elle était au fond, une certaine noirceur comme celle qu’elle aimait tant manipulée. Elle menait de nombreux hommes à la baguette, et des femmes aussi, développant une certaine fascination et soif de pouvoir. Et si deux centenaires ont passés, elle n’en est pas devenue moins dangereuse. Vivant dans les enfers et n'hésitant pas à traîner sur Sanctuary, elle est l’exemple même qu’il faut se méfier d’un sourire.