Maxine - La chance est avec moi ! Désolée pour vous

Physique & Caractère

Salut ! Vous voulez que je me présente j’imagine. Vous devez vous demander un peu à quoi je ressemble et comment ça fonctionne dans ma petite tête ? Rien de plus simple, je ferais un portrait réaliste, le plus objectif qu’il soit. Pour commencer, je suis une fille d’une déesse grecque. La génétique oblige donc les critères suivants. Mes cheveux sont d’un blond qu’il fait penser au soleil à ce qu’on dit. Mes yeux sont d’un bleu clair qu’ils font penser à deux lacs turquoise. Mes lèvres sont roses et délicates et ma peau parfaite ressemble à de la porcelaine. En gros je suis une beauté divine, accouplé de mes nombreux traits de caractères, à savoir la gentillesse, la compassion. Sans oublier que je suis connue aussi pour ma tendresse, mes nombreux talents artistiques et sportifs et de mon charisme inégalable. Et sans oublier ma très grande modestie…

C’est difficile de décrire son propre caractère en toute objectivité pour être franche. Je risque d’exagérer encore et d’oublier certains points. Mais vous vous en rendrez compte sûrement. Pour commencer, je suis une fille qu’on va dire joyeuse, insouciante, fêtarde et plutôt impulsif. Disons que mes pouvoirs me donnent facilement l’illusion d’être invincible, que rien ne peut m’arriver et que, qui vous savez, sera toujours là pour me tirer d’affaire. Mais bon, j’aime l’aventure, prendre des risques, tester mes limites. Le danger m’effraye que très peu. Je ne suis pas sûr de savoir pourquoi. Sans doute que je me sens encourager à profiter de mon « don » pour comprendre le monde sans avoir peur. Oh ! ?e croyez pas que je n’ai jamais peur. Cette émotion m’est bien familière, mais je joue avec elle, je veux l’apprivoiser. Sans doute devrais-je consulter un psy pour ça.

Enfin voilà, je suis quelqu’un qui n’a pas peur de se mettre dans de sales draps. Qui aime danser à pas d’heure. Arpenter les coins mal famés pour finir poursuivis par un gang ou des flics. Fouiller et jouer les ninjas dans un lieu dangereux, pour rendre service bien sûr ! Après je crois… Je pense que j’aime ce genre de vie quand je suis avec Matt. C’est plus drôle quand on est ensemble et quand je vois cette andouille s’énervait contre moi ou paniquer. Me sens motivée et confiante dans n’importe quelle situation, tant qu’il est là.

Quoi ? Qu’est-ce que je pense de lui ? Ce que je ressens ? Vous ne voulez pas attendre ma fiche de lien pour le découvrir ? Oh et puis en réalité, j’aime beaucoup parler de lui. Matt pour moi… C’est plus que mon protecteur de mésaventure, c’est mon meilleur ami, mon grand frère. Me suis attachée à cet idiot et j’aime être avec lui, le faire tourner en bourrique et qu’il m’exaspère. C’est la personne à qui je tiens le plus au monde… C’est pour cela que quand je voie quelqu’un lui tourner autour, je deviens vite jalouse. J’ai peur qu’on me l’éloigne, qu’on vienne briser ce lien entre nous à cause d’une nymphette. Je ne sais pas ce que je deviendrais et encore moins ce que je ferais si cela devait arriver…. Heureusement, il est gauche avec les gens et fait fuir les filles, dont je ne m’inquiète pas trop en fait.

Petite note, ce serait injuste de croire que je ne suis qu’une fille de bourge qui ne pense qu’à s’amuser et faire les quatre cents coups. En réalité, j’ai une autre passion. J’adore lire. Très jeune, on m’avait collé des instructeurs bizarres, mais on a bourré mon crâne d’histoires du monde, de légendes, de littératures, de philosophie. Et ouais, on ne dirait pas, mais il y en a dedans. Et je dois avouer que ça me passionne ! J’aime lire, j’aime apprendre. Ce n’est pas un « pouvoir » à proprement parler, mais je suis capable de dévorer un livre en une journée même s’il fait cinq cent pages ou presque. Donc, venir dans ce nouveau monde, c’est une belle occasion de mettre en avant ces connaissances acquises.

Côté physique ? Oh ! En reprenant ce que je viens de dire, je suis une jolie petite blonde aux yeux bleus. Avant, on me faisait porter des robes chics avec des talons si haut que je croyais faire trois mètres. Très franchement, je déteste ça. Moi je préfère des styles plus simples. Les marques pas pour moi. Suis habitué à m’habiller avec ce que je trouve, jean troué, vieille veste et un sweat ou un t-shirt froissé, et je suis heureuse. Et niveau chaussure, des baskets je vous en prie ! Je n’ai pas survécu à tout ça pour mourir d’une foulure de la cheville. Question maquillage, ça non plus ce n’est pas pour moi. J’aime être une fille simple, qui ne se prend pas la tête et profite de la vie. J’aimerais par contre me faire tatouer tiens, ce serait intéressant.

Pouvoirs

Vision de probabilité : Il s’agit d’un pouvoir passif, agissant comme un sixième sens, ce « don » permet à Maxine de percevoir le monde d’une manière plus mathématiques. Comme pour un robot ou un programme, la jeune femme est capable de calculer à une vitesse prodigieuse les probabilités de l’environnement qui l’entoure. Cela se manifeste par des lignes de chiffres et de calculs qui se matérialise devant ses yeux, lié aux événements dont elle est témoin et qui sont un manifeste de son esprit qui lui « prédit » en quelques sortes, ce qui risque d’arriver dans un pourcentage de chance.
Pour exemple, une voiture lui passant à côté, elle peut voir les lignes de calculs lui indiquant le pourcentage de chance de faire un accident en heurtant quelqu’un. Ou bien, voir telle personne se prendre un râteau en chantant faux à une seconde personne. Cela lui permet ainsi de prendre des décisions calculées où elle s’en sortirait le mieux.

Attention ! Ce pouvoir ne se contrôle pas et agit de la même manière que pour notre corps quand il respire. Même si on peut amoindrir les effets, Maxine ne peut l’activer ou le désactiver selon son désire. Elle doit vivre en permanence avec. La principale conséquence étant que plus il y a de monde, plus les « calculs » sont nombreux et complexe. Rapidement, cela peut fatiguer, voir donner de terribles migraine à Maxine qui se finissent par des vertiges ou des malaises. Ceci lui a provoquer une agoraphobie sévère.


Manipulation des probabilités : Fille de Tyché, Maxine a une influence sur la chance. Elle peut renforcer les probabilités ou les réduire et influencer son environnement direct. Cependant, son don fonctionne surtout si la probabilité qu’on désire renforcer est déjà assez forte. Sinon les risques d’échouer elles augmenteront. Par exemple, sur un jeu de hasard où il faut choisir une bonne carte, il y a 60% de chance de trouver la bonne.  Maxine peut modifier cela et faire passer ce 60 à 70 ou à 75%. Ou au contraire le faire réduire. Là ce serait facile. Au contraire, si la carte recherchait n’a que 320 ou 40% d’être trouvé, avec une amélioration, cela ne dépasserait pas 48% par exemple.

Le monde perdure grâce à un équilibre. Les dieux eux-mêmes doivent s’y soumettre. Donc là où on gagne, d’un autre côté on perd et inversement. Si Maxine se donne de la chance, augmentant donc ses propres probabilités, celle d’une personne proche verra les siennes diminuer. Après tout, les grecs ne croyaient-ils pas qu’un excès de chance était punis par les dieux ?

Histoire

Il était une fois, un roi très riche qui gouvernait un royaume magnifique. On disait qu’il ne manquait jamais de rien et tout ce que le monde pouvait offrir, son royaume le produisait. Or, malgré toutes ces richesses, le roi n’était pas heureux. « A quoi bon l’or pour recouvrir mes murs, mes manteaux d’hermine que je porte nuit et jour. Mes rubis pour décorer ma couronne et ma ceinture. Il est bon d’avoir les greniers remplis de blés et d’orge, mais à quoi cela sert si l’on ne m’accorde le plus beau des trésors. » Effectivement, le roi pouvait tout posséder, mais il lui manquait une chose importante. L’amour. L’amour oui d’une femme. L’amour d’un enfant qu’il chérirait.

Il pleura toutes les nuits sur le balcon de sa chambre. Implorant le dieu du ciel et les esprits anciens de lui accorder son vœu et faisant moult promesse pour les tenter de l’exaucer. Et justement, par une nuit de pleine lune, une fée descendit à sa rencontre. Dansant sous les étoiles, elle vint vers le roi disant « Bon roi, j’ai entendu ton appel et me voici pour exaucer ton souhait ! Mais en contrepartie, tu devras donner ce qu’il y a de plus beau… Ce qu’il y a de plus brillant sur la terre, à savoir… »


… Du canard WC pour rendre tes chiottes propres. Nan l’histoire est intéressante, mais je préfère vous en raconter une plus captivante encore. La mienne ! Pas avec le récit classique de la princesse à sauvée et du prince coureur de jupons. Un truc bien plus cool avec du fun, du drama…  Tout ce qu’il faut pour en faire un bon film.


Déjà, si je vous parle de la famille O’riley, ça vous fait penser à quoi ?  La chanson de The Who ? Ouais pas mal. Mais non rien à voir. Bon si ça ne vous dit pas grand-chose sur le coup, c’est un peu normal. Et comme je suis quelqu’un de très gentil, je ne vais pas faire durer le suspense. Pour vous la faire courte, la famille O’riley est une très vielle famille noble originaire de l’ancien continent, plus précisément d’Irlande et d’Ecosse. Si cette famille connue quelques seigneurs consanguins dans sa lignée, elle était surtout connue pour être une puissante famille marchande. D’où venait ce don pour les affaires ? Vous n’allez pas tarder à le savoir.

Bref, aujourd’hui pas grand-chose n’a changer. Les O’riley sont riches et puissant et touchent à pas mal de chose, surtout dans la bourse et les produits de luxe. Cosmétiques, vêtements, bijoux, montres, voitures… La famille investissait dans de nombreuses choses et gagnait beaucoup en retour et on installer leur QG ici en Amérique pendant la grande guerre.

Bon voilà, le cadre et mit, nous pouvons aborder le point principal, à savoir moi ! Non, je ne suis pas égocentrique ni narcissique. J’imagine que si vous êtes-là c’est pour connaitre MON histoire et rien d’autre. Sinon, allez lire autre chose. Mon nom, c’est Maxine, et je suis jusqu’aux dernière nouvelles, la dernière héritière de cet empire capitaliste. Mon père, c’est William O’Riley, l’actuel empereur. Et ma mère, Marjorie Constance Rebecca Simpson. Autant vous le dire, c’était un mariage arrangé entre deux puissantes familles. Je ne serais dire si mes parents s’aimaient vraiment, en tout cas ils semblaient bien s’entendre, respectant un accord entre eux.

Si vous dites qu’avec la vie que j’avais, je n’étais à plaindre, et bien je ne vous donnerais qu’à moitié tort. Pour commencer, je fus très jeune envoyée dans une sorte de monastère. Je ne savais pas trop ce que c’était en fait. Les femmes qui tenaient l’endroit ressemblaient à des bonnes sœurs. En tout cas j’étais très choyer comme si j’étais une princesse. Le coin appartenait à ma famille et on me disait qu’il était fait exprès pour moi. Là-bas je recevais mes premières leçons. Sachant à peine marcher, on voulait m’apprendre déjà à lire, écrire, compter et chanter. C’était très rigide, les enseignants qui venaient, mes précepteurs, n’étaient pas tendres dans leurs mots, mais jamais ils ne me touchaient.

Vivant là-bas, je me sentais bien seule. Mon père ne venait me voir que pour vérifier si je progressais bien et ma mère… Et bien elle ne faisait que l’accompagner. Quand je savais écrire, j’envoyais des lettres pour avoir des nouvelles, dire que je voulais renter, que je les aimais et qu’ils me manquaient. Le paré disait qu’il fallait que je me concentre sur mes devoirs, et ma mère, que je n’étais qu’une gamine pourrie gâtée à agir de la sorte. Cela m’avait affligée, traumatisée ! Et pendant presque dix ans, je restais-là, étudiant dans cette espèce de monastère de je ne savais pas quoi.

C’était vers cette époque que ma vie changea pour la première fois. C’était là que je découvrais mes dons. Au début j’avais terriblement peur, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Je devenais folle ! J’en parlais à l’espèce de directrice toute sèche qui prévint mon père. Là, William organisa un rendez-vous avec moi, comme si j’étais une de ces lopettes d’associé. Et là, ce fut la grosse révélation. Imaginez qu’il allait me dire ce qui suivait avec un ton froid, ferme, sans émotion, sans ménager sa gosse quoi.

Il me raconta le secret de sa famille. Il y a des siècles, l’un des premiers O’Riley n’était qu’un pauvre agriculteur. Il parvint à s’en sortir, lui et sa famille en passant un accord avec une déesse antique. Tyché, déesse de la chance et du hasard. Elle lui apporterait la prospérité contre quelques services. La famille ainsi connu le succès en renouvelant leur accord avec la déesse et lui vouant un culte. Sauf que là, il eut un truc différends aux autres fois. La famille O’Riley avait organisée le mariage de mon père avec Marjorie pour assurer leur fortune. Cependant, l’épouse était stérile, rien que ça. Et comme on avait besoin d’un héritier, ou d’une héritière, William conçu avec sa déesse protectrice, une gosse, moi. Qui serait reconnue comme celui du couple. Et ça ne s’arrêtait pas là. En réalité, on avait déjà préparé ma destinée. On voulait savoir de quoi j’étais capable, avant de me préparer à reprendre les rennes de notre empire et assurer par mes pouvoirs, que jamais ils ne connaitraient la misère. Oui on racontait tout cela à une gosse de dix ans.

On me colla toujours bien plus de leçons. On m’apprenait aussi bien les sciences, que les lettres et l’art. J’étais une élève assidue, même si j’avais de travers ce que mon père m’avait dit. Mais grâce à mon esprit hyper entrainer de demi-déesse, j’apprenais vite et bien. Puis ont voulu passer à l’étape supérieur. On me fit sortir de mon cloitre pour rejoindre le monde extérieur, intégrée une école prestigieuse et voir comment je me débrouillais dans ce monde.

J’entrains dans l’adolescence et vous pouvez le croire, je n’ai jamais eu autant l’envie de me rebeller. Je ramenais des bonnes notes oui. De quoi faire dires quelques compliments à mon sujet. Mais le reste du temps, en dehors des salles de cours et comme j’échappais facilement au radar de la maison, j’étais une vraie scandaleuse. Malgré mon agoraphobie, j’arrivais à me faires quelques potes avec qui, nous faisions les quatre cents coups. Mon père voulait connaitre les limites de mes pouvoirs, et bien moi aussi et il n’allait pas être déçus… Enfin si et tant mieux ! Je séchais des cours avec mes amis, on allait trainer là où il ne fallait pas. Ils étaient aussi dingues que moi et voulaient tester de nouvelles expériences. Souvent on voulait voir si j’arrivais à survivre au milieu d’une route très active, à courir sans m’arrêter en plein de la ville sans avoir d’accident etc. Je ne me souviens plus de tout. J’ai testé une fois la fumette je n’ai pas aimé.

Provoquer, voilà ce que j’aimais faire. Car bien que je voulusse voir jusqu’où je pouvais aller, je cherchais à voir les réactions de mon géniteur. On pouvait dire que mon vieux était furax. Il s’empourprait, me rappelait que je gâchais le destin de notre famille et blablabla. Rien à faire, je criais que j’en avais marre à chaque fois, que cette famille pouvait éclater, cramer je n’en avais rien à faire. Cruel ce que je disais mais vrai. Ce que je voulais vraiment, c’était sentir de l’amour, de l’attention. Ne plus vivre dans un monde où on ne pariait que sur les chiffres et le pognon. Hélas, parler d’amour c’était finir par être considérer comme un animal exotique. J’en voulais à mon père pour ne pas me voir comme sa fille, à ma mère la stupide déesse m’ayant laissée dans une mouise pas possible. Pendant un bon moment cela durait et j’ai fini par en avoir assez et j’ai fuguée.

Passer des strasses et paillettes à la rue était violent. Je ne savais pas où dormir, ni comment survivre. Mais j’étais heureuse, car je me sentais libre. Mon père pouvait bien envoyer la police, la garde national, l’armée, je leur échapperais à chaque fois. En attendant, j’avais un peu d’argent sur moi et vécue comme une SDF. Mes quelques dollars fondèrent comme neige au soleil et il me fallait un plan B. Ce dernier ne tarda pas à me tomber dessus. Je participais à quelques jeux de rues et arrivait à soit trouver la bonne carte, ou la balle caché. Parfois j’en organisais ou volais de l’argent pour vivre. Mais une fois, j’avais dénoncé la tricherie d’un joueur et de ses complices, ça à mal finit. Humilier, le sale type et ses potes m’ont coursé.

Avais-je peur ? Un peu. Mais ils étaient si stupides. Les fuyants, j’arrivais à emprunter des voies localisé grâce à mon principal pouvoir, et avec le second, je fis trébucher les idiots en faisant tomber quelque chose d’en-haut ou glisser sur le sol. C’était drôle, j’aurais dû avoir une caméra pour filmer. J’en profitais pour les narguer, ce qui les énervaient d’avantages. Puis tout à coup… Un géant nous tomba dessus.

Le type devait faire deux fois ma taille. Une brute, une montagne de muscle, une sale tronche surtout. Il tomba sur mes poursuivants et les mis en pièces par la seule force de ses poings. Un Hercule, mais petite tête. "Quoi ? Non je ne parle de personne en particulier. T'es trop susceptible tu sais. Ouais a plus mister grognon." Bon où en étais-je… Yep. Ce gars sorti de nulle part avait assommer toute la bande sans se faire la moindre égratignure. Pour être impressionner, je l’étais. Il me jeta un regard froid, sombre et s’en alla sans rien demander. Et moi ? Et bien curieuse, je l’ai suivi.

Cela a durer un long moment, mais ce gars cherchait à me convaincre de le lâcher. Chose que je ne fis pas. Je le collais, posais des questions etc. On avait senti que nous étions des enfants de dieux ce qui nous rapprochaient, mais on n’abordait pas le sujet. Casse pied que j’étais oui je l’assume, je le traquais, j’apparaissais de n’importe où le faisant piquer une crise de colère. Faut dire pour l’énerver ce n’était pas difficile. En tout cas, mise à part me cracher dessus en état de rage, jamais il ne me fit du mal. Et de fil en aiguille, nous sommes devenus inséparable.

Je ne serais vous expliquer pourquoi je me suis entiché de ce grand dadais. Il est brutal et semble peu porté sur le raisonnement. On se dispute souvent même. Pourtant, j’aime le taquiner, le provoquer ca m’amuse et lui aussi d’ailleurs. Comment expliquer les relations humaines ? Je dirais pour faire simple que je voyais en lui quelqu’un dont j’ai besoin. Il joua sans que je lui demande un rôle important pour moi, surprotecteur et qui, malgré ses tentatives, cachait mal ses sentiments. C’est un peu un père, un frère que j’aurais voulu avoir et que je garde jalousement.

Pendant un an nous trainions ensemble dans les coins les plus malfamés. On était le duo inséparable. Sur que là où il irait, je le suivrais, ayant sacrifier sans remords ma vie d’avant pour rester avec lui. Et parlant de suivre, l’occasion se présenta. Matthew, oui on l’aura reconnu, me parla d’un endroit où nous serions chez nous, avec des gens qui nous ressemble. Cela à l’air très beau, j’aimerais croisée d’autres demi-dieux. Mais je remarquais quelque chose d’étrange chez lui, il avait ce regard inquiet. Il paraissait troubler. En tout cas, lui faisant confiance, je le suivis jusqu’à Sanctuary où nous attendait notre nouvelle vie.